Poésie

Les Matins qui fument 02.04.13

Madrid, Mardi 2 avril 2013, 18h48

Un joli matin bousculé,
Soleil sur le nez,
Pensées calmées par le sommeil du jour.

Une nuit qui a tourné sans fin,
Comme le renard tourne sur lui-même au fond du terrier,
Comme les aiguilles d’une montre qui essaient de se rattraper,
Comme tes talons sur mon ventre qui labourent
Le début d’un printemps,
La fin d’un amour.